Merci Arthur et Bravo !
dimanche, juin 08, 2014
55ème ANNIVERSAIRE : LE CLIP.
Merci Arthur et Bravo !
samedi, mai 31, 2014
JEAN ET LES POETES....
Cliquez pour voir le clip
vendredi, mai 30, 2014
55 ème ANNIVERSAIRE
vendredi, octobre 05, 2012
RETROUVAILLES, LE 5 OCTOBRE !
Saluons la présence d'un prestigieux candidat local qui avait momentanément laissé sa campagne électorale pour nous rejoindre, et le retour bien agréable de Joseph et Karin.
Bravo aux élèves de l'École et un grand merci aux organisateurs, Jean , André et les autres.
La prochaine réunion est déjà fixée,elle sera organisée par Arthur Ska: ce sera le 30 mai 2014 quelque part en Gaume. Notez-le déjà sur vos tablettes.
mercredi, avril 11, 2012
LIBRAMONT EN OCTOBRE....
C'est confirmé !
Quelques "copains d'il y a 53 ans" ont décidé de vous proposer une nouvelle occasion de nous retrouver.
Le choix de l'endroit s'est porté sur Libramont et plus particulièrement à l'école hôtelière, le 5 octobre prochain à 12h00.
Outre le plaisir de nous retrouver, la table ne devrait pas vous décevoir ! C'est un endroit très bien fréquenté !!!
L'adresse du jour :
avenue Herbofin, 39
6800 - Libramont-Chevigny
Nous vous invitons donc à manifester à Jean Calmant ou André Delbrouk ,avant le 15 août, votre intention de participer.
Au plaisir de vous revoir tous,
Le Comité
lundi, mars 12, 2012
C'EST REPARTI !!!
samedi, février 12, 2011
Billy FASBENDER- souvenirs

J’ai repensé à cette petite anecdote quand la télévision diffusait assez régulièrement des images des prétendus chirurgiens qui enlevaient les cancers des ventres occidentaux qui allaient jusque là pour se faire « soigner ! ». Mais là le sang coulait !

J’ai encore une anecdote, mais en dehors du théâtre celle-là.
J’étais avec Billy dans sa voiture pour je ne sais quel déplacement. La rhéto tirait à sa fin, ma prochaine année scolaire j’allais la passer au collège Saint-Michel à Bruxelles, en spéciale maths préparatoire à l’examen d’entrée ingénieur (St-Michel préparait évidemment pour l’examen de Louvain (Leuven encore dans ces années-là) mais j’ai fini par le présenter à Liège, heureusement sans avoir à souffrir de rapports peu amènes entre une université d’Etat et une autre catholique). Apprenant cela, Billy m’a demandé si je serais intéressé par le théâtre national ! Qu’avais-je bien pu montrer dans les pièces jouées au séminaire sous sa houlette et celle, il ne faut surtout pas l’oublier lui, Georges Devignon mon titulaire de troisième ? Mais je me devais de rester loin des aventures artistiques et ne penser qu’à mes études futures. De plus dans cette conversation il me demanda si je ne m’achèterais pas une petite voiture pour mes déplacements dans Bruxelles ! Il n’avait pas l’air de savoir qu’une telle acquisition était à des lieues de mes rêves même les plus secrets ; deuxième d’une famille de huit, on ne roulait pas sur l’or ! Mais quatre ans plus tard tout conducteur se devait d’avoir un permis. Je n’avais jamais conduit, ou très très peu, mais qu’importe j’aurais mon permis ! Il était gratuit jusqu’au 31 décembre 68 ; avec papa et Jean-Baptiste mon ainé nous sommes allés le demander à la maison communale. C’est toujours celui qui est dans mon portefeuille.
mardi, décembre 21, 2010
mercredi, décembre 15, 2010
Bientôt Noël...
Pour Noël un souvenir
Bastogne, ce n’était pas si mal….
Je viens de trouver chez un antiquaire à Arlon de Hermann Hesse « Gedenkblätter (souvenirs de jeunesse) ». J’aimais bien Hermann Hesse parce qu’en rhéto André Neuberg m’avait prêté de Hesse le roman « Peter Camenzind » , mais fait jurer de n’en rien dire à Léopold Wampach ou Louis Burnet. Hesse décrit dans son livre de souvenirs sa vie au lycée gréco-latin de Göppingen. Eh bien, qu’est ce que les élèves se faisaient taper dessus. Les profs pouvaient se permettre toutes les tortures physiques et psychiques, et le sang coulait. Admettons que c’étaient des Souabes et pas des Ardennais. Et reconnaissons qu’à Bastogne ces violences physiques ne faisaient pas partie de l’arsenal éducatif de nos profs, alors qu’on avait la chance ou la malchance de vivre dans une sorte de musée éducatif qui fonctionnait encore comme au 19° siècle. Moi, en tout je ne me rappelle d’aucun châtiment physique.
Et dans l’autre domaine qui fait courir beaucoup d’encre en Belgique pour le moment sur les curés pédophiles, je n’ai aucun souvenir d’une aventure de ce type qui serait arrivée à l’un d’entre nous comme enfant de cœur ou chez ses directeurs de conscience. Peut-être avais-je la tête trop dans les livres.
N’empêche, Bastogne, ce n’était pas si mal. Et que nos profs qui chantent le « Gloria in excelsis » là-haut maintenant, dans un coin bien chaud du paradis se disent que nous trouvons qu’ils le méritent
Pierre Lutgen