jeudi, novembre 13, 2008

THEATRE, FETES ET CELEBRATIONS




Les "fêtes du chef"








Le théâtre
Monsieur Cuyvers en 56 dans "L'anglais tel qu'on le parle"Britannicus




Les fêtes de classe


Auriez-vous des photos de ces fêtes et en particulier des tableaux toujours bien décorés? Je crois me souvenir que le frère de Jojo Dechambre qui avait des talents de dessinateur, nous avait préparé quelques fêtes. Ou ai-je rêvé?

St Félix. Vive le St Gaffiot !


La St Pentutu.




La St Math






Célébrations



125ème anniversaire






Fête de St Joseph




4 commentaires:

Anonyme a dit…

Grand débat avec Jean C.: le prof de diction, c'est Cuypers ou Cuyvers ???
Qui aurait la réponse?
René

Anonyme a dit…

Salut René,

Je confirme "CuyVers" ("Dieu est un bon chrétien", tu te souviens ?)
André

Anonyme a dit…

Il y avait le théâtre, mais aussi le cinéma. J'ai eu le grand privilège d'être opérateur,en duo ave JM Servais. Ce job présentait deux grands avantages:
- Il fallait parfois aller chercher la valise avec les bobines de films à la gare du Sud, en fin de semaine et les reporter le lundi. D'où, un peu de liberté, la traversée de la ville et diverses opporunités, comme celle de pouvoir poster des lettres.
- L'autre avantage était d'échapper à la promenade.En effet, on avait décidé qu'il fallait visionner les films l'après-midi pour vérifier toutes les collures et éviter les incidents à la projection: on passait donc le film pour nous seuls l'après-midi...jusqu'au jour où l'abbé Galland a surgi et s'est fâché parce qu'on usait ainsi les ampoules du projecteur qui valaient , dixit Georges G.,une fortune !
La dernière année, on nous avait installé une belle cabine de projection au dessus du hall d'entrée de la salle des fêtes: on y accédait par une échelle en fer.
Je me souviens qu'il nous est arrivé plusieurs fois de couper le film en plein déroulement avec des ciseaux pour provoquer dans la salle des immenses chahuts. Ca nous faisait marrer: de vrais potaches... nous avions 18 ans.

Anonyme a dit…

J'ai lu avec plaisir le commentaire de René sur nos "activités culturelles" d'opérateurs-cinéma que nous avait confiées l'Abbé Pol Winand. C'est vrai qu'elle nous permettaient d'échapper à certaines obligations et nous procuraient le bien-être d'agréables moments sans surveillance. J'en ai su gré à Pol Winand que j'ai, l'une ou l'autre fois, invité à diner lorsqu'il fut, quelques années plus tard, Aumônier chez les Soeurs de la Providence à Champion (Namur).
Une précision : j'ai souvenance que c'est plutôt le dimanche soir que nous allions le plus souvent reconduire la valise des bobines à la gare du sud et que... nous repassions parfois sur le carré -peut-être au Palace ?- pour descendre avec délectation un bonne chope. Ai-je rêvé ou pas ?
Jean-Marie